Le plaisir d’être partenaire « secondaire »
Les médias et l’opinion populaire sont d’avis qu’être la « troisième roue » à côté d’un couple, c’est nécessairement signe de dévaluation. Et si le contraire était possible? Et si on pouvait volontaire vouloir se trouver dans cette position et y vivre le parfait bonheur?