La surreprésentation des violences sexuelles à l’écran
Parce que les violences sexuelles ne devraient pas avoir à être vues pour être crues.
Parce que les violences sexuelles ne devraient pas avoir à être vues pour être crues.
Les personnes grosses n’ont pas le monopole des dates catastrophes. Cela dit, rencontrer des gens dans un monde où l’on voue un véritable culte à la minceur alors qu’on existe dans un corps plus gros représente définitivement une expérience à part entière.
Comme le veut la tradition (et mes gènes, très probablement), c’est le visage recouvert (à l’exception des yeux) de mascara et de glitters que j’ai quitté le Studio TD après avoir assisté à l’une des représentations (trois ans après la date prévue) d’Hedwig et le pouce en furie.
Ça fait 14 fois que tu regardes Girls ? Tu es en carence de films qui passent le test de Bechdel ? Tu as envie de faire découvrir du bon cinéma accessible à tan partenaire qui fétichise (à ton grand désarroi) le cinéma de Martin Scorsese ? Tu es pu capable du Male gaze et des films écrits, réalisés, produits, joués (etc) exclusivement par des hommes cishétéros ? Ça te tente pas de trop te casser la tête ? Pas de panique. J’ai sélectionné pour toi 4 films et 3 séries faciles d’écoute et datant des 15 dernières années parmi ma Watched List, qui témoignent du désir, de la sexualité et de l’identité de genre, et qui mettent en vedette des femmes et des personnes queers.
N.B. : Le présent article risque de prendre une tournure assez cishétéro, pour la simple et bonne raison que c’est scientifiquement prouvé que queer people are more fun in bed. 😚
En ce grand jour de tapis rouge d’OD Martinique, j’avais envie de te jaser de monogamie, ou, plus précisément, des comportements toxiques liés à une monogamie qui nous est structurellement imposée.
« Une dernière fois ? », souffla-t-il, s’approchant progressivement d’elle, ses yeux plantés dans les siens, tout en défaisant scrupuleusement le nœud de sa cravate de couleur verte et argent.
« Drago… », murmura-t-elle à son tour, soutenant son regard, tremblante de désir et d’impuissance. D’une main confiante, il caressa la douce surface de sa peau brûlante, puis la plaqua fermement contre le mur. À ce moment, elle savait qu’elle ne pourrait lui résister.
« Une dernière fois. », lui souffla Hermione à son tour.
La virginité ne doit certainement pas t’être un concept complètement inconnu. On considère généralement que quelqu’un.e est « vierge » lorsqu’iel n’a pas encore expérimenté son premier rapport sexuel avec partenaire. Dans la culture occidentale, le message dominant concernant la virginité, c’est qu’un beau jour, à peu près à l’âge où l’on troque les shirley temple pour des bacardi breezers, on la perd. Dans un monde idéal, on l’offrirait à la bonne personne. Cette abstraction populaire est d’autant plus conséquente dans la vie des jeunes filles, contribuant, entre autres, au slutshaming et à la culture du viol.
Apparue dans le langage populaire il y a plus ou moins 25 ans, l’expression « cougar » réfère, selon le Robert, à une femme d’âge mûr qui recherche et séduit des hommes beaucoup plus jeunes. Dans la culture populaire, la cougar est souvent une véritable chasseresse, une prédatrice insatiable et assoiffée.
En cette journée internationale contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie, on te propose 10 trucs pour être un.e meilleur.e allié.e.
“I need feminism because people tell me I should be thankful that my rapist wanted to have sex with me.” (Auteur.trice inconnu.e)
Traduction libre : J’ai besoin du féminisme parce qu’on me dit que je devrais être reconnaissante que mon violeur aille bien voulu avoir un rapport sexuel avec moi.