Alors que la jalousie est un sentiment familier, la compersion demeure un concept méconnu. On t’explique ce que c’est et comment la cultiver.
Si je te dis « non-monogamie », tu penses peut-être à des orgies à profusion et une sex life qui n’arrête jamais de fleurir. Bien sûr, pour les couples qui choisissent la non-exclusivité sexuelle, ça peut être le cas. Mais autant qu’il existe une panoplie de façons de vivre la non-monogamie, il existe tout autant de raisons personnelles de choisir de l’explorer.
À toi, qui t’es tellement fait dire que désirer d’autres personnes que tan partenaire faisait de toi une mauvaise personne, une « fille facile » ou un « player », que tu as fini par y croire toi-même ; je te dédie cet article.
En février 2019, j’ai pris la décision de mettre fin à ma relation amour-haine avec ce fameux comprimé. J’en avais ras le bol (ou plutôt ras l’utérus) d’imposer quotidiennement des hormones à mon corps. Ma vie a littéralement changé. Pour le meilleur et pour le pire, mais surtout pour le meilleur.
« J’aime mes menstruations ». As-tu déjà entendu une personne prononcer cette phrase ? Quand je demande à mes ami·e·s menstrué·e·s quel est leur rapport à leur sang menstruel, le discours tend plutôt à tourner autour de : « si je pouvais, je ne serais jamais dans ma semaine », ou bien « le moins j’y touche, le mieux c’est » ou encore « chut ! Parle pas trop fort ! ».
Est-ce possible d’avoir des relations sexuelles durant nos menstruations ? Bonne nouvelle : c’est non seulement possible, mais ça peut aussi être super bénéfique à plusieurs niveaux !
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